lundi 23 avril 2007

"Epouses qqu'un qui t'aime, et n'épouses pas qqu'un que tu aimes!"

Mon meilleur ami m'a fait cette réflexion il ya qques mois, et ces derniers jours j'y pense de plus en plus; pourtant je sais que je me merierai cet été comme prévu ( inchalla)!
Nos convictions, nos principes sont ils tjrs d'actualité? Ou doit on s'adapter à notre époque?

mercredi 18 avril 2007

S comme suite et fin

Samedi 12 décembre 200Y; 08H40 : mon tél sonne, je décroche:
Moi : Allô
S : Bonjour, je ne sais pas comment te l’expliquer, comment te le faire comprendre. Voilà je ne veux plus te voir, te parler ni entendre ta voix ; je ne suis pas amoureuse de toi ; l’amitié Pssshhttt (rien a cirer j’y crois pas …) alors arrêtes de m’appeler de me harceler sinon j’ai tjrs tes sms et tes mails, j’irai voir la police !
Moi : et ces 3 ans passés à se retrouver, se séparer, ces week end en amoureux cet été ??
S : Ces 3 ans c’était un accident ! Laisses moi tranquille !
On raccroche.
Entre le 02 juillet 200X et mai 200Y, S a vécu maritalement avec un mec qu’elle a finit par mettre a la porte une première fois l’été 2005 et une dernière fois en avril 2006. Bien sûr cette relation aussi c’était un accident.
Rideau.

E comme blog expert

« Se faire embaucher grâce a son blog », oui de plus en plus de recruteurs dans différents domaines passent par notre ami Google ‘ mastodonte du net’ pour essayer d’en connaître un peu plus sur un demandeur d’emploi ! En effet, ça permet juste en tapant le nom de trouver éventuellement multitudes d’info sur ce demandeur, en 2006, 35% des recruteurs de cadres aux USA ont utilisé le web pour recruter contre
26% en 2005 et ça avance à grand pas et dans de plus en plus de domaine !

O comme opération

Arrivé vers 15 h, ma chambre n’était pas encore prête ! Un quart d’heure après, on m’attribue la 1324 ; belle chambre avec télé, coffre fort, téléphone direct et une salle de bain. Non ce n’est pas un hôtel, c’est bel et bien un hôpital!
Je devais être opéré, Dieu merci ça c’est bien passé. Bref on s’est bien occupé de moi sauf que m’attendant a voir l’anesthésiste que j’ai déjà rencontrée j’ai fini par rencontrer une autre. A-t-elle consulté mon dossier ! Parce que me demander des questions des plus simples m’a un peu inquiété !
Le soir l’infirmier m’a un peu expliqué le déroulement des choses qu’on me réveillera vers 6h, que j’aurai mon cachet de prémédication vers 7h.
Apres le dîner on m’expliqua qu’il faut prendre une douche avec de la Betadine que je devrai passer a trois reprises sur tout le corps juste avant de mettre mon pyjama, et pareil le matin et a partir de minuit je mange plus et je bois plus! 6h j’étais déjà réveillé, vous imaginez la nuit que j’ai passée, et l’attente commence, vers 8h15 une nouvelle tête apparaît c’est le brancardier qui se ramène avec mon dossier, m’a mis un bracelet avec mon nom au poignet droit et direction le bloc ! Faut dire que le cachet a bien fait son effet. Tout simplement j’assiste a une scène qu’on a tous vu a la tele, vous vous rappelez le malade sur son lit a travers des longs couloirs qui voit défiler les luminaires du plafond, oui j’ai eu peur et j’ai du fermer les yeux pdt un moment. Arrivé devant le bloc on me changea de lit plus petit plus rigide avec un appui spécial pour la tête et c’est l’embouteillage, on a fini a 4 lits devant le bloc avec ce froid matinal qui d’habitude est très doux mais là c’est d’une autre nature ça rappelle plus une autre froideur ! Un infirmier sort chercher un malade qu’il trouve pas, il me demanda bien si j’étais Mr X, non non je suis Y pour le chirurgien Z, foutez moi la paix ! En fait y a eu un petit malentendu sur le nom du malade, vous imaginez invertir les malades ! Mon infirmière anesthésiste finit par arriver pour enfin m’amener a la salle D. Tiens elle n’est pas si imposante que ça la salle d’op ! Je m’attendais a voir mon chirurgien avant l’opération, rien, ensuite mon anesthésiste arrive et surprise c’est une nouvelle tête, et premier couac l’infirmière a mal commencé avec la perfusion, mm si elle connaît et aime bien la Tunisie. Les deux bras écartés, a gauche la perfusion et a droite la tension, on ramène un plan de travail au dessus de mes jambes, l’anesthésiste m’informe qu’elle va me mettre un peu d’oxygène !
3 heures après une voix me réveille, j’ouvre les yeux, je suis dans une salle pleine de lits avec plein de personnel, l’infirmière me demande si j’ai mal et sur une échelle de 2 à 10 je lui réponds 4 alors elle me rassure qu’elle va me donner un peu de morphine.L’effet a été instantané, je voyais des ombres et après suis parti encore, encore si je voulais de la morphine, j’avais pas si mal que ça mais c’est bon la morphine, oui oui s’il vous plait j’ai trop mal !
Un quart d’heure après on me remonte a ma chambre. Ouf c’est fini ! Quelle joie !
Je retrouve enfin un visage que je connais, mon infirmier, et j’aperçois mon chirurgien que je fais demander, 2 cachets de Di Antalvic avec une gorgée d’eau, ah oui ma gorge était trop sèche, c’est normal y avait 2 tuyaux dedans. On me ramène une solution buccale et rien d’autre ! Le chirurgien passe me rassurer en un coup de vent ! Vous avez mal Mr Y, non j’ai faim ; Vous mangerez a 18 h pas avant mm pas le droit de boire ! 2 cachets toutes les 4 heures et cette perfusion tjrs au bras qui me démange déjà ! Mon médecin traitant finit par m’appeler pour se rassurer que je vai bien !
Le soir j’appelle chez moi je parle avec ma mère et je lui dis que j’ai été opéré ce matin et que ça s’est bien passé que je sors dans deux jours, j’ai appelé ma femme, ma petite sœur ; enfin je me sens soulagé, ça fait un mois et demi que je leur cachais mon opération, c’et dur de tout garder pour soi ! Toute la soirée le téléphone n’a pas arrêté de sonner.
Je ne pouvais pas trop bouger, dur de garder la mm position, pour moi c’était pas de la douleur mais plutôt de la gène, la peur était tjrs présente et si je bouge, un faux mouvement quel effet ça aurait, et si j’aurai une infection et si et si plein de si sans raison, juste le fait d’être seul sans ma famille et un manque total d’information de la part du corps médical !
Le dîner ; du bouillon un yaourt et une compote, c’est vraiment léger trop léger j’ai trop faim mais pas le droit de manger ! Pendant la nuit le sympathique infirmier est aux petits soins, si vous avez trop mal je vous donne un peu de morphine ! Sous quelle forme ? Par piqûre me répond t-il, alors non merci. Je voulais vraiment en prendre mais avec une piqûre, qu’est ce que je suis bête !!!
Le lendemain 8h30 mon chirurgien passe me voir avec le médecin de service que je n’ai jamais vu, alors vous allez bien vous avez pas trop mal ? non ça va, alors vous pouvez rentrer aujourd’hui, ce n’est pas la peine de rester jusqu'à demain !
Quoi je n’ai pas encore bougé du lit et vous mettez dehors ? Prenez votre pdj, reposez vous un peu faites votre toilette et vous verrez ! J’ai eu droit a un café noir sans sucre ni lait et rien d’autre ! Merci. Une première infirmière passe me voir, si vous avez besoin d’aide pour vous habiller n’hésitez pas de m’appeler, non je sors pas aujourd’hui. Une deuxième infirmière passe 15 mn après, alors vous n’êtes pas encore habillé ? y a des gens qui attendent ! Non je ne sors pas aujourd’hui, pas question !
Le chirurgien revient à la charge et là il prend le temps de m’écouter me renseigner, me montrer comment bouger, se lever s’allonger... Je ne me prive pas de lui lancer, je peu sortir mais c’est vous le responsable, Mr Y si vous voulez rester jusqu'à demain c’est vous qui voyez ! Trop tard ma décision est prise, je m’en vais je me sens de plus ici!

Pour l’instant j’ai été bien soigné malgré qques frayeurs, je suis sorti sans savoir que faire avec le pansement et le fil des sutures ! oh vous enlevez le pansement demain et le reste partira sous la douche tout seul !!!
Que dire de cette expérience, avec tout l’entourage qu’on peut avoir, rien ne remplace les parents frère et sœurs ; un grand merci a eux et un grand coup de gueule pour ce chirurgien et les infirmières du jour ! Ah oui 2 semaines après cette histoire j’attends tjrs la facture, et là chapeau pour les services médicaux en France quand je pense que les sans papiers ont droit aux soins gratuitement.
C’est fort comme symbole, mais dans une quelques jours tout peut basculer ; un Sarkozy peut tout démolir, un présidentiable fils d’immigrés !

vendredi 13 avril 2007

M comme mondialisation

Ainsi Abu Dhabi compte implanter son district culturel avec entre autres, le Guggenheim et le Louvre !
En fait ce sont les politiques français qui ont fini par imposer leur décision pour cette collaboration un rien forcée entre Abu Dhabi et les musées français !
Ce projet a eu plein d’opposant arguant que le Louvre est un bien culturel républicain qui ne peut être traité comme un vulgaire bien économique !
Ce qui est normal puisqu’au nom de la mondialisation, on peut implanter des entreprise industrielles, commerciales n’importe du moment que ça rapporte pour l’Etat ; mais la culture, les biens culturels NON c’est pour la république !
C’est bizarre comme l’esprit humain peut être court de mémoire, spéculatif !!!!

Tout simplement ça doit être toujours dans un seul sens, un sens unique et non dans les deux sens !!

J comme jour

Un blog ! J’ai tjrs cru que c’étais une sorte d’échappatoire, une sorte d’un cahier intime numérique … Non, c’est en fait un vrai foutoir, on y trouve de tout alors l’envie de me lancer s’éloigne ; combien de blog ? Qcque je pourrai y mettre, mes convictions ? J’en ai !!! C’est à juger ; mes états d’ames ? souvent plus bas que possible ; mes joies je me rappelle pas en avoir puisque rien ne m’étonne plus en bien ou en mal ,de toute façon ça ne peut être que bien ou mal alors vraiment pas de quoi faire un plat !
Je voudrai m’excuser parce que ça pourrait être long et inintéressant mais franchement ceci est à moi, j’ai juste envie de délirer , pour une fois que ma liberté ne s’arrête pas là ou commence celle des autres ; tiens un bon point que cette connerie qu’est Internet .
Je sais, suis plutôt déroutant mais je ne peux plus me changer mm si je le voulais. En fait tout est confus dans ma tête ; comme d’habitude, je dirai.
Je suis conscient que qcque chose cloche en moi, je n’arrive pas à m’expliquer, je perds toute logique je perds le fil « je vais comme pas mettre tout ça sur le compte de la crise de la quarantaine » !
Avec l’age on gagne en sagesse mais moi j’ai l’impression que c’est du bénef juste pour mes parents puisque j’ai perdu mon vrai moi le moi rebelle que j’ai tjrs été, aujourd’hui je me résigne !!! Y a qcque mois je m’adaptais maintenant c’est se résigner le mot maître ! Je me dis que mme si je suis pas amoureux de ma femme je vivrai avec elle et on serait heureux du moment elle tient a moi et que je suis conscient de ma situation !!! Je suis pas gourmand alors au lieu de penser au bonheur de 2 personnes on se limitera a son bonheur à elle ! N’est ce pas merveilleux de passer 40 ans pour en arriver à un tel résultat !

Sérieusement le premier pas est le plus difficile alors ne soyez pas dur avec moi, d’ailleurs pour être honnête j’ai jamais abordé une fille c’était souvent le hasard, la plus belle histoire d’amour que j’ai vécue était bien un hasard qu’il fallait entretenir bien sûr par la suite.
D’ailleurs je garde tjrs les feuilles que je noircissais pendant les études qd j’étais en internat au lycée ; tiens ce serait pas mal d’en poster quelques-uns.


Toi qui vas là, n’hésites pas avec tes remarques et merci d’être passé.

E comme excité

La décision est prise ; dès que je pourrai, je me lancerai avec mon blog !
C’est vrai commenter les posts des autres commence à me peser. Et puis il faut être objectif, pourquoi tjrs envahir les autres, moi aussi je peu dire ce que je veus et je n’ai pas a attendre les réactions. Apres tout c’est mon blog a moi et pas nécessairement pour que ce soit lu et commenté !
Je voulais parler, en fait de ce moment avant de commencer à « blogger », cette excitation qu’on peut éprouver quand on l’intention de faire qque chose et qu’on s’y prépare. Parce que une fois entamée, notre affaire devient vite banale et là je me demande si ça va durer ou est ce juste un phénomène de mode ou plus grave c’est juste une espèce de remède pour un mal de passage !
Tout est possible. Pour l’instant, il s’agit juste de s’évader un peu.
Aucune envie de voir du monde, de sortir, en plus avec un arrêt de travail ; c’est dur.
Je me rappelle qd j’étais au lycée, interne que j’étais je prenais souvent une feuille et je notais tout ce qui me passait par la tête, j’ai tjrs eu ce besoin de partir de m’éloigner du monde qui m’entoure ! Quelque chose ne va pas chez moi et le pire : je ne cherche plus a comprendre je laisse faire ! ça peut pas être pire !